Passion Livres et Scrapbooking

Yves Desmazes, officier de police, est actuellement membre de l'état-major de la direction départementale de la sécurité publique de l'Hérault. Folies meurtrières est son deuxième roman.

La mort d'un dignitaire de l'Eglise au sein même de l'abbaye de Gellone, suivie par celle de plusieurs élus du peuple originaires de Saint-Guilhem-le-Désert, va conduire un singulier policier, diacre de son état, de surprises en surprises. Pourquoi tant de violences au sein d'un site classé, dans le cadre des chemins de Saint Jacques, au Patrimoine Mondial de l'Unesco ? La coopération d'un journaliste et l'appui de la police scientifique lui permettront de triompher d'une organisation criminelle, plus que centenaire, qui a érigé le meurtre en solution à ses problèmes.

Un meurtre perpétré au moyen d’une hostie empoisonnée, la découverte d’un squelette à proximité  de l’église de Maguelone, il n’en faut pas plus  pour que Kevin Normand, lieutenant de police au SRPJ de Montpellier et diacre auprès de l’évêché, se voie confier une enquête   qui le conduira jusqu’au XIII^e siècle époque où le comte-évêque de Melgueil avait en charge le rayonnement spirituel et matériel  de celle qui, alors cathédrale  était qualifiée  de «  seconde après Rome ».

L’enquêteur parviendra-t-il à décoder, puis à prévenir à temps, les noirs desseins du grand maître d’une confrérie voulant faire siennes les exactions historiques d’un sulfureux et tristement célèbre légat  pontifical ?

Les mêmes causes produiraient-elles les mêmes effets ? Seule l’aide des techniques de police scientifiques telles que le morphing et l’odontologie légale permettra à l’enquêteur de résoudre un mystère enfoui par les siècles et mis au jour par une équipe d’archéologues.

Sur fond de faits historiques, parfois mâtinés de légendes, l’auteur nous entraîne dans un fabuleux voyage dans le temps et l’espace, jusqu’à l’université Laval de la ville de Québec.

La découverte d'organes humains au sein de l'hôtel St Côme, ancien amphithéâtre d'anatomie érigé à la fin du XVIII ème siècle, sonne le branle-bas de combat à la PJ de Montpellier.